Dans la presse

« Le distributeur avait déjà détourné ses circuits d’approvisionnements par le passé. » La souveraineté alimentaire est en marche.

C’est le premier poste du budget des ménages, qui obère le plus le pouvoir d’achat. La hausse des taux d’ntérêt et de durcissement des conditions de crédit renchérissent l’offre à la vente, et « les ménages qui ne peuvent plus acheter se reportent vers la location, ce qui met le ma...

« Jusque-là, la filière n’avait pas le droit de réutiliser cette eau issue du lait, à cause d’un vide réglementaire. Elle attend un décret interministériel avant l’été pour lancer la machine. Le jeu en vaut la chandelle. Cela permettrait d’économiser 16 millions...

« Est-ce vraiment légal ? Aucune réponse pour l’instant. Mais la vraie question est si Bercy, au-delà des grandes déclarations à des fins de communication, est en mesure de savoir quelles sont les baisses de prix qui seraient justifiées et celles qui ne le seraient pas. Rien n’est moins sur ét...

Pas plus de septembre vert que de mars rouge selon le “Sept Minutes pour comprendre” matinal de BFM, discussion à plusieurs voix autour de la réponse adressée par l’Ilec à Bercy le 25 avril. Utile rectification de quelques fausses idées : non, les hausses de prix n’ont pas été immé...

Le président de la fédération nationale laitière, François-Xavier Huard, explique que les coûts des industries laitières ne baissent pas, et que le prix payé aux producteurs a augmenté davantage que les prix à la consommation.

« Le Conseil national de la transition écologique “s’interroge sur la notion d​‌’industrie verte” : selon lui, elle “ne peut se limiter à la décarbonation”. Il “déplore” que “seule” la neutralité carbone soit mentionnée dans l​‌’exposé des motifs. »

« La souveraineté économique suppose que soient sécurisés les besoins d’approvisionnements essentiels des entreprises et que l’offre productive réponde aux principaux éléments de la demande de biens et services d’une population : besoins alimentaires, besoins énergétiques,...

Selon le président du Medef, les entreprises sont nombreuses à composer avec des refus de promotion, parce qu’« entre un et deux smic, quand on augmente les salaires de 100 euros, il reste à peine 30 euros dans la poche du salarié ».