Dans la presse

« Le fromage La Vache qui rit, les mouchoirs Kleenex, la bouteille de pastis Ricard, les collants Dim, le shampoing Dop, la Cocotte-Minute Seb, le stylo 4 Couleurs Bic, le biscuit Véritable Petit Beurre LU, la pâte à tartiner Nutella ou enfin le Coca-Cola, mis en avant dans ce numéro spécial made in France. »

Emprise foncière ou masse salariale ont donné lieu à des impositions qui ont représenté 130 milliards d​‌’euros pour l’État en 2023. En petite baisse, mais toujours à un niveau deux fois plus élevé que la moyenne de la zone euro en pourcentage du PIB…

Les Échos publient la carte des sites industriels en danger, et il y en a partout : « L’inquiétude gagne du terrain dans les territoires », alors que s’est ouverte la Semaine de l’industrie…

Avec une inflation faible, la base taxable progresse plus lentement, ce qui réduit les rentrées fiscales, alors que les prestations sociales, les retraites et d’autres allocations souvent indexées continuent d’augmenter. Il faut alors les financer par de nouveaux impôts.

« La moitié des entreprises étrangères estiment que l’attractivité du pays s’est dégradée depuis la dissolution de l’Assemblée, selon une étude EY. En conséquence, 49 % d​‌’entre elles ont revu à la baisse leurs plans d’investissement (…) Les groupes &eac...

« La Vache qui rit, Kiri, Boursin, Babybel, Pom’potes. Ces noms de produits qui fleurent bon l’enfance sont connus de par le monde. Leur goût est en perpétuelle évolution (…). Ainsi, suppression des additifs pour le Kiri, baisse de 25 % de la teneur en gras de La Vache qui rit… »

Guerre des prix, déficit de compétitivité, taxations, sabrage de l’amont agricole… La liste des fermetures de sites depuis deux ans donne le vertige.

« Depuis un mois, l’emmental français, fromage le plus consommé, est concurrencé par de l’emmental vendu sous MDD fabriqué en Allemagne en Belgique et aux Pays-Bas. C’est désormais plus de 25 % de l’emmental proposé à la vente qui vient de l’étranger, (s’é...

« Il y a un an, EDF et son actionnaire l’État annonçaient à Bercy un accord sur les prix de vente de l’électricité nucléaire, censé remplacer la régulation Arenh en 2026. » Maispour l’Uniden, le compte n’y est pas.