Dans la presse

« Le monde patronal est très déconcerté par vos positions, écrivent les chefs d’entreprise signataires, vous semblez considérer que les normes européennes doivent être “complétées” par des normes françaises, alors que vous avez dû constater récemment que la surtransposition de ces normes tuait lentement notre agriculture. Eh bien, il...

« À vouloir à la fois des fermes de petite taille, des prix bas et l’écologie, nous enfermons l​‌’’agriculture dans une équation triangulaire insoluble : “Nous avons moins un problème de prix que de coûts, lestés par une fiscalité, un coût du travail et des normes plus lourds...

« La puissance publique doit arrêter d’être dans le contrôle et la défiance vis-à-vis des agriculteurs. Un exemple : nous souhaitons revoir la nature des peines pour les atteintes à l’environnement. Actuellement, c’est du pénal, ce qui entrave paradoxalement les avancées environnement...

Si le taux d’utilisation des outils de production se maintient à peu près en moyenne globale, dans les filières matériaux de construction, automobile, agroalimentaire ou chimie il est souvent de 55 à 70 % des capacités.

Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire se félicite que l’AI Act européen entériné le 2 février, qui va encadrer le développement de l’IA en Europe, soit moins contraignant que dans le projet initial : il faut innover avant de réguler. Financer en créant une union des march&eacu...

« Chez un même industriel, une référence peut générer de fortes marges pour en financer d’autres qui n’en gagnent pas ou qui demandent du temps pour trouver les volumes nécessaires à leur rentabilité. Un excès de transparence peut pousser à de mauvais choix en baissant les marges...

« Les prix à la sortie des exploitations ne sont pas fixés par l’industrie ni par la grande distribution, mais sur des marchés dont les versions successives de la PAC ont démantelé toutes les barrières (y compris dans nombre de cas, la préférence communautaire). (…) La solution de sortir par...

« Si le solde reste positif, il se dégrade considérablement. S​‌’établissant à 1,2 milliard d’euros, il a été divisé par quatre par rapport à 2022. »

Il n’y aurait plus, selon l’ indice d’attractivité du réseau des conseillers du Commerce extérieur, que 56 % des investisseurs pour juger la France sûre ; la dégradation de son image serait particulièrement forte chez les Asiatiques.