Dans la presse

Une synthèse signée Romain Nouffert, ancien directeur général de Lesieur et président de l’Ilec entre 2013 et 2019.

Après la publication dans le JDD du 4 décembre d’un article qui l’interpellait, l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail dément tout enlisement de son expertise en cours

« Faute d’acheteurs, la filière française va “déclasser” cette année 20 % de sa production et le vendre comme du lait conventionnel. »

Les protéines alternatives sont un des axes forts d’investissements qui devraient doubler dans le monde en 2021.

Et pour toute la hauteur de gamme, alors que les prix des aliments pour les poules pondeuses ont augmenté de 25 % en un an…

« Beiersdorf a mis en place à travers le monde un programme destiné à apporter du bien-être à 150 000 nouveau-nés, personnes âgées et malvoyants d’ici à 2025. »

Mais pas en valeur absolue ! Toutes enseignes confondues, le prix du vrac est plus élevé dans les circuits conventionnels, parce que les coûts de main-d’œuvre y sont en valeur relative plus élevés que dans les circuits spécialisés. Avec des produits et des circuits marquetés pour être pl...

« La start-up française, qui fait partie des dossiers retenus par l’Ademe, est la seule à prendre en compte les treize critères de la méthode “Product Environmental Footprint”, et attend beaucoup de la présidence française de l’UE. »

« Avant de répartir la valeur, il faut la créer » (Olivier Morel, président de l’interprofession des légumes en conserve et surgelés). La filière est touchée depuis des années par la destruction de valeur, avec des prix de vente en baisse relative par rapport à l’inflation g&eacu...