Dans la presse

Des filières sont très exposées, notamment celle de l’aluminium, très dépendante des importations de Russie.

Par rapport à celui du produit emballé. Voir aussi sur le site du CNE.

Seul distributeur présent au Salon de l’agriculture, Lidl met en avant des accords portant sur plus de 370 millions de litres où sont pris en compte les coûts agricoles et industriels.

Un contrat commercial annuel signé le 1er mars au stand du ministère, au Salon l’agriculture.

Boucle prix-salaires dans un contexte de pénurie de compétences et contrainte climatique sur l’énergie ne vont pas dans le sens d​‌’une résorption rapide des tensions inflationnistes. Un cycle de plusieurs décennies qui pourrait se clore.

« Les productions françaises sont plus ou moins dépendantes de l’origine mer Noire (Russie et Ukraine) pour l’alimentation animale. Même pour les céréales cultivées en France, le renchérissement des engrais jouera sur les coûts de production. »

« En coulisses, tous les coups sont permis pour maintenir les coûts bas. »

Le projet de la startup de la biotech et du recyclage, portée par un consortium réunissant L’Oréal, Nestlé Waters, PepsiCo ou Suntory, devrait mobiliser 200 millions d’euros et créer 150 emplois directs et indirects à sa mise en service, en 2025.

« Les ministres ont rappelé avec fermeté que la date du 1er mars pour la fin des négociations est impérative. Ainsi, un plan de contrôles spécifiques sera réalisé par les agents de la DGCCRF au cours du printemps pour s’en assurer. »