Dans la presse

… l’agroalimentaire, qui a « le plus contribué cette dynamique en 2022 et 2023, avec, respectivement, 54 et 47 nouvelles ouvertures nettes (extensions comprises) ».

« L’expert Olivier Lluansi estime que la France serait en mesure de faire grimper la part de son industrie de 10 % de son PIB à 12 % , voire 13 % en 2035, en activant certains leviers immédiatement disponibles. »

« Il y a encore de la place pour les grandes marques chez Leclerc. Selon Circana, Leclerc dispose d’une offre plus large que la moyenne de toutes les enseignes, avec une majoration de 30 % en hypermarché. De son côté, Carrefour a fait le choix de réduire de 20 % ses références d’ici 2026. »

« Lourdeurs administratives, manque de terrains à bâtir, absence de visibilité des prix de l’énergie… » La sixième édition du salon “Global Industrie” se tient du 25 eu 28 mars, alors que les moyens manquent d’avancer dans le sens de la « réindustrialisation verte &raqu...

« La décision belge remet en cause tout un pan du mécanisme de régulation des relations commerciales françaises instauré par la loi Égalim dans le secteur agricole et alimentaire. (…) Eurelec n’a toujours pas signé ses contrats annuels avec certains fournisseurs, deux mois après la date...

« La hausse des températures prévue pour 2035 conduira à une augmentation moyenne des prix de l​‌’alimentation de 1,49 point de pourcentage par an dans le meilleur scénario, ont calculé les auteurs de l​‌’étude diffusée dans Communications Earth and Environnement. »

À l’occasion de “Sustain 2024”, un événement d’Écovadis consacré aux achats responsables qui s’est tenu les 11 et 12 mars, les directions des achats d’AstraZeneca, Air France-KLM, Marriott International et L​‌’Oréal ont exposé leurs stratégies en matière de réd...

Quand « changer un camion représente quasiment un an de chiffre d’affaires », cela montre en creux que ce sont légitimement les « gros » qui vont contribuer le plus à répondre aux objectifs environnementaux, notamment comme beaucoup le font en contribuant activement à la transition de leurs fournisseurs.

Une méthode de calcul du malus qui s’éloigne du mode européen de calcul de l’empreinte environnementale inquiète les professionnels du textile et sème le doute sur l’ambition du gouvernement d’engager une politique générale de simplification des normes.