Consommer français : inclinations et raisons - Numéro 431 - 01/11/2012

Bulletin au format PDF

  • Hotte aux emplois

    Produire « en France » ou « français » ? Le premier terme ne semble pas répulsif, comme l’atteste la présence de Toyota à Valenciennes depuis 2001. En revanche, le second semble, pour l’informatique ou l’électronique, un extravagant défi, n’&...

  • L’enjeu de l’empreinte emploi

    Consommer français n’a de sens que si l’acte d’achat est associé à l’emploi et à la fabrication locale. Un objectif au cœur du label Origine France garantie. Entretien avec Yves Jégo, président de l’association Pro France, député de Seine-et-Marne

  • Du bon usage du patriotisme économique

    Produire français pour consommer français, aussi bien dans l’Hexagone qu’à l’étranger, deux objectifs du Pacte de compétitivité et une ambition : la réputation de la « marque France » fondée sur sa singularité. Entretien avec Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif

  • Reconstituer la présence perdue

    La montée en puissance du consommateur acteur répond à un besoin de compensation qui tend à légitimer l’appel à produire français, naguère considéré comme chauvin. Pour autant, acheter français passe par des prix comparables, ou par une qualité singulière. Entretien avec Eric Fouquier, cabinet Théma

  • Question de fierté

    Plus que le « consommer », le « produire en France » doit devenir un objectif prioritaire des politiques publiques, par la labellisation, les exigences réglementaires de qualité ou l’encadrement des marchés publics. Et la volonté de réduire notre complexe d’infériorité. Entretien avec Robert Rochefort, cofondateur de l’Obsoco, député européen