31/01/2020

Le vrac s’inscrit dans le paysage commercial avec trois principes : absence d’emballage primaire, juste quantité, libre-service. Présumé antithétique de la marque, il serait pourtant un antidote aux crises de confiance que les marques peuvent connaître, en recréant par le produit un lien direct avec le consommateur. La France, berceau au XIXe siècle des premières marques commerciales et des premières lois pour les protéger, est au début du XXIe le pays numéro un du vrac : il a représenté 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2019, en croissance de 41 % sur un an. Et si le point commun entre la marque et le vrac était la qualité et la réassurance ? Entretien avec Célia Rennesson cofondatrice de Réseau Vrac, et Lucia Pereira, directrice des affaires juridiques